Agence DKV du Brabant Wallon: Intermédiaire en assurances Agent lié INFOCONSEILASSURANCE SPRL | +32 (0)2/7795550

Blog

Vieillissement des dents : 10 choses à savoir sur les prothèses dentaires

Passé le cap des 50 ans, la santé globale a tendance à se détériorer. Et malheureusement, la santé buccodentaire est loin d’être épargnée. Le vieillissement des dents va de pair avec une recrudescence des caries et des maladies parodontales. Dans les cas avancés, le risque de déchaussement et de perte des dents n’est pas à négliger.

Quand la dentisterie restauratrice traditionnelle ne suffit plus, le recours aux prothèses dentaires et implants dentaires permet aux séniors de conserver une bonne qualité de vie. Bridge, onlay, dent sur pivot, dentier … Votre dentiste pourrait être amené à vous proposer l’une de ces solutions lors de vos prochaines consultations. Toutefois, ces soins sont chers et peu pris en charge par l’assurance maladie. Pour limiter les frais, vous avez la possibilité de souscrire une assurance soins dentaires dès aujourd’hui.

1/ Les prothèses ne sont pas systématiques face au vieillissement des dents

Certes, le vieillissement des dents est souvent synonyme de prothèses dentaires. En effet, la sénescence entraîne une diminution des sécrétions salivaires (xérostomie) et une rétraction des gencives. Les séniors sont donc plus vulnérables aux caries, aux maladies parodontales et au déchaussement des dents. Néanmoins, il est toujours possible d’éviter la chute des dents.

Même après 50 ans, la meilleure mesure préventive demeure de continuer à s’astreindre à un contrôle annuel. S’il l’estime pertinent, le dentiste pourra par exemple mettre en place des stratégies fluorées pour limiter les pathologies infectieuses. Du reste, des procédures de dentisterie restauratrice moins invasives que les implants dentaires restent envisageables dans certains cas.

2/ Prothèses ou implants dentaires : ce n’est pas la même chose

Un implant dentaire est en fait une racine artificielle. Lorsque la dent ne peut plus être sauvée, le chirurgien-dentiste fixe une vis en titane dans l’os de la mâchoire. Cette dernière sera ensuite surmontée d’un pilier et d’une couronne destinés à remplacer la dent naturelle. Cette solution a l’avantage d’être esthétique et de préserver le confort de mastication.

La prothèse, quant à elle, est un dispositif qui restaure ou remplace une dent abîmée ou manquante. On peut la comparer à un « capuchon » qu’on colle sur la dent pour lui rendre sa forme d’origine. Certaines nécessitent la pose préalable d’un implant. À noter que, avec le vieillissement des dents, il n’est pas rare que les prothèses dentaires couvrent tout un pan de la denture.

3/ Il existe plusieurs types de prothèses dentaires

On trouve aujourd’hui une grande variété de prothèses pour refaire ses dents. Le choix du dispositif dépend de la pathologie observée, du diagnostic du dentiste et de la disponibilité financière du patient.

Les prothèses fixes

Les prothèses dentaires fixes permettent un remplacement permanent d’une dent trop abîmée ou absente. Elles servent aussi à protéger des portions fortement endommagées. Ce dispositif prothétique est bienvenu pour éviter l’extraction dentaire et préserver l’esthétique de son sourire.

  • L’onlay et l’inlay sont des plombages modernes qui comblent une dent fragilisée.
  • Le bridge (ou pont dentaire) se compose d’au moins trois éléments côte à côte.
  • La couronne recouvre et protège le fragment restant d’une dent très abîmée.
  • La dent sur pivot (ou inlay-core) comprend une couronne, un moignon et un tenon.

Les prothèses amovibles

Les appareils amovibles sont l’ultime recours du dentiste face au vieillissement des dents. Ils sont employés lorsque la pose d’une prothèse fixe n’est plus possible ou que trop de dents manquent à l’appel. Ils remplacent aussi bien les dents que la gencive et se retirent à volonté.

  • Le dentier (ou prothèse amovible complète), conseillé en cas d’édentement intégral.
  • Le stellite (ou prothèse amovible partielle) remplace seulement une partie des dents.

4/ Refaire ses dents, ce n’est pas pour tout le monde

Bien que réservée aux adultes, l’implantologie dentaire n’est pas accessible à toutes les personnes âgées. On recense un certain nombre de contre-indications à la pose de prothèses et implants dentaires. Selon l’appréciation du médecin, ces dernières vont de la simple réserve à l’interdiction absolue.

Vous êtes concerné par l’une des situations suivantes ? En cas d’édentation, prenez rendez-vous avec votre dentiste pour déterminer l’intervention la plus adaptée.

  • Insuffisance ou maladies cardiaques (infarctus récent, cardiomyopathie, etc.).
  • Certaines maladies immunologiques.
  • Certains cancers, notamment des os.
  • SIDA.
  • Diabète.

5/ Remplacer ses dents prend du temps

Sachez qu’une prothèse n’est pas réalisée par votre dentiste. Cette charge revient à un prothésiste dentaire. C’est pourquoi il vous faudra vous armer de patience une fois votre décision arrêtée. Les principales étapes sont les suivantes :

  • Rendez-vous préliminaire et diagnostic auprès de votre chirurgien-dentiste.
  • Prise des empreintes dentaires.
  • Examens complémentaires de type scanner et radiographie.
  • Fabrication de la prothèse dans un laboratoire spécialisé.
  • Pose du dispositif sous anesthésie locale, suivie d’une visite de contrôle.
  • Dans le cas de l’implant, prévoir 2 à 6 mois supplémentaires pour qu’il se soude à l’os[1].

6/ Les complications d’implantologie dentaire existent

En dehors de la délicatesse de l’acte médical, refaire ses dents n’est pas sans risque. C’est pourquoi certaines mesures préventives s’imposent dès les premiers jours qui suivent la pose. Parmi elles : un suivi régulier, un entretien minutieux et une bonne hygiène buccodentaire.

Il s’agit principalement d’éviter :

  • Les complications infectieuses, comme la mucosite, la péri-implantite ou la lésion péri-apicale implantaire. Elles sont liées aux bactéries qui habitent naturellement la bouche.
  • Les complications mécaniques, telles que les fractures ou la détérioration[2]. Ce type de risque est encore plus important pour les patients bruxomanes.

7/ Après la pose : les visites chez le dentiste restent de circonstance

Le vieillissement des dents n’est pas de tout repos ! Une fois posés, les implants et prothèses dentaires doivent faire l’objet de plusieurs vérifications. Certaines mesures relèvent de la routine, quand d’autres sont correctives. L’objectif est de maintenir les dispositifs en bon état et de préserver votre confort de mastication.

Aussi, un rendez-vous annuel chez le dentiste s’apparente à un passage obligé pour éviter la chute des dents. À cette visite de contrôle s’ajoute un détartrage des implants tous les 6 mois.

Enfin, dans le cas des prothèses, sachez que plusieurs ajustements sont à prévoir au cours de votre vie. Ces derniers tiennent compte de l’usure des pièces et de la résorption osseuse. Si les modifications de la mâchoire sont trop importantes, une réfection des prothèses sera nécessaire.

8/ Les prothèses et implants dentaires coûtent cher

Aussi indispensable que puisse paraître l’intervention, remplacer ses dents a un coût. Le tarif final prend en compte les spécificités du dossier médical du patient ainsi que ses préférences fonctionnelles et esthétiques. Malgré des disparités d’un profil et d’un cabinet à l’autre, refaire ses dents compte sans surprise parmi les prestations de soins dentaires les plus onéreuses.

Tarifs moyens observés en Belgique [3] :

  • Implant dentaire : env. 2.200 € ;
  • Prothèse amovible : env. 817,5 €.

9/ Les appareils dentaires des séniors ne sont (presque) pas remboursés

La sécurité sociale belge ne couvre le remboursement des prothèses et implants dentaires que dans de très rares cas. Pour les prothèses amovibles, la prise en charge est partielle et soumise à de nombreuses conditions. Il est par exemple indispensable d’être âgé de plus de 50 ans. Les prothèses fixes, quant à elles, sont entièrement à la charge du patient. 

Les soins dentaires restent les parents pauvres des assurances soins de santé. C’est pourquoi il est essentiel de réfléchir précocement aux contraintes budgétaires du vieillissement des dents. Même sans déchaussement des dents ou maladies parodontales déclarées, ne négligez pas l’impact de la prévoyance.

10/ Vieillissement des dents : moins cher avec l’assurance soins dentaires

Le saviez-vous ? Selon le Baromètre DKV 2018, 8 Belges sur 10 ayant souscrit une assurance soins dentaires ne regrettent pas de l’avoir fait[4]. Alors, pourquoi pas vous ?

N’attendez pas de devoir remplacer vos dents pour souscrire une assurance soins dentaires. Avec DKV Smile Premium, bénéficiez de la couverture la plus complète pour préserver votre confort dentaire. Vos implants, couronnes et bridges sont couverts jusqu’à 4000 € et remboursés à 80 %.

Un doute sur la formule qu’il vous faut pour assurer le vieillissement de vos dents ? Laissez-vous guider et trouvez en quelques clics l’offre DKV la plus adaptée à votre situation.

 

Pourquoi souscrire une assurance soins dentaires complémentaire ?

Parce qu'en Belgique la sécurité sociale ne rembourse que 47 % des frais de soins dentaires. Ce qui signifie que plus de la moitié des coûts des soins dentaires restent à charge des patients. On estime ainsi à 1,1 milliard d'euros le montant total des soins dentaires qui doit être financé par le secteur privé[5].

 

Il s'agit ici de publicité au sens de l'arrêté royal du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d'information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.

Pour toutes informations complémentaires concernant les caractéristiques et exclusions principales de ces produits, vos droits et obligations, veuillez consulter les Conditions Générales, les Conditions Tarifaires et les Documents d’Information Produit (IPID) avant de souscrire. Ces documents sont disponibles auprès de votre intermédiaire d’assurances, sur www.dkv.be ou gratuitement auprès de DKV Belgium.

DKV Belgium S.A. | Rue de Loxum 25 | 1000 Bruxelles | www.dkv.be | Tél. : +32(0)2 287 64 11 | R.P.M. 0414858607, entreprise d’assurances de droit belge agréée sous le n°739, sous le contrôle de la Banque Nationale de Belgique, dont le siège est situé à 1000 Bruxelles, Bld de Berlaimont 14, fabricant des produits DKV : soins dentaires, frais ambulatoires, hospitalisation, dépendance et perte de revenus. Ces produits sont soumis au droit belge (branche 2 ‘maladie’ et/ou branche 18 ‘assistance’). Offre via votre intermédiaire d’assurances et/ou via www.dkv.be. Contrat à vie, non résiliable par l’assureur, sauf exceptions prévues par la loi. Pour les plaintes relatives à la gestion ou à la mise en oeuvre de ces produits, veuillez vous adresser au service Quality Control de DKV Belgium S.A. par courrier à l’adresse suivante : rue de Loxum 25, 1000 Bruxelles, par mail à Qualitycontrol@dkv.be ou via le formulaire disponible sur notre site internet www.dkv.be/fr/contact/une-plainte et, en 2ème ressort, à l’Ombudsman des Assurances par courrier à l’adresse suivante : square de Meeûs 35, 1000 Bruxelles, par mail à info@ombudsman.as ou par téléphone au +32 (0) 2 547 58 71. Ce document est un support commercial au sens de l’A.R. du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d’information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.